24 avril 2007
C’EST COMME PARIS
Mon âme est comme une ville
qui plus jamais n’rit,
c’est comme Paris,
comme, comme Paris.
Qu’est-ce qu’c’est qu’cette nostalgie,
ah mais oui,
c’est comme Paris,
comme, comme Paris.
Tous ces moments de joie enfuis,
oh oui ça aussi, c’est comme Paris,
comme, comme Paris.
D’la douleur plein la tête,
c’est pas la fête,
toute cette misère,
comme la ville-lumière.
Les quais de la Seine
avivent ma peine,
et je m’sens mal,
comme la capitale.
Je pleure, c’est l’retour d’la barbarie,
tiens, c’est comme Paris,
comme, comme Paris.
J’me sens plus à l’abri,
tiens, c’est comme Paris,
comme, comme Paris.
J’voudrais vivre à nouveau,
sortir de c’t’enfer,
comme c’te ville-lumière.
Et puis danser d’joie comme une étoile,
éviter l’affreuse peine capitale.
Mon âme est comme une ville
qui plus jamais n’rit,
c’est comme Paris,
comme, comme Paris.
Qu’est-ce qu’c’est qu’cette nostalgie,
ah mais oui,
c’est comme Paris,
comme, comme Paris.
Tous ces moments de joie enfuis,
oh oui ça aussi,
c’est comme Paris,
comme, comme Paris.
Toute cette souffrance difficile à taire,
c’est comme la ville-lumière.
J’me sens triste, j’me sens sale,
comme cette drôle d’capitale.
Je pleure, c’est l’retour d’la barbarie,
tiens, c’est comme Paris,
comme, comme Paris.
J’me sens plus à l’abri,
tiens, c’est comme Paris,
comme, comme Paris.
Il m’faudrait un peu d’air,
ça c’est clair,
comme à la ville-lumière.
Qu’je sorte de cette décevante spirale,
comme c’te pauvre capitale.
Mon âme est comme une ville
qui plus jamais n’rit,
c’est comme Paris,
comme, comme Paris.
Qu’est-ce qu’c’est qu’cette nostalgie,
ah mais oui,
c’est comme Paris,
comme, comme Paris.
Tous ces moments de joie enfuis,
oh oui ça aussi,
c’est comme Paris,
comme, comme Paris.
Publicité
Publicité
Commentaires